Roses séparées

un très beau livre de photos [ma saleté de scanner ne fonctionne pas sur mon ordi]

En sortant bras dessus, bras dessous de la galerie Vivienne, nous nous retrouvons nez à nez avec cette expo à la BnF. Nous voici donc devant "Rose c'est Paris", un film de Serge Bramly que nous prenons en cours de route. Sur l'écran, de somptueuses filles fortement dénudées évoluent dans des situations ambiguës, dans des décors de rêve, le tout filmé en noir et blanc. Paris vu ainsi est somptueux. Nous restons debout contre le mur de l'entrée appuyés l'un contre l'autre. Je sens tes doigts qui se faufilent sous ma jupe, glissent doucement dans mon sexe déjà trempé. Je me cale contre toi et contemple ainsi les images qui défilent devant mes yeux dans une douce torpeur. Une femme s'est assise par terre près de moi, elle touche presque ma jambe. Ma respiration s'accélère, je reste immobile, fausse innocente avec tes doigts qui continuent de me fouiller.

Je crois bien qu'à un moment j'ai eu comme une absence... je n'ai pas tout compris de l'histoire des roses empoisonnées, mon esprit ayant crée un blanc pour laisser le plaisir se répandre [dans mon corps].

Comments

[home]

@ Philo
hé hé comme Alice je suis plussoyante... sourire

@ Phil
e-xac-te-ment mon cher ! [bien que je me demande dans l'histoire qui guide qui...]
baisers

@ Ash
[idem]

@ Libertin
mon ami... je crois que tu t'égares...
[rendez vous sous la photo des trois belles]
baisers

@ loupcelte
comme si vous y étiez...

[loupcelte]

quelques images :

http://culturebox.france3.fr/all/21670/bettina-rheims-et-serge-bramly-signent-rose-c_est-paris-a-la-bnf#/all/21670/bettina-rheims-et-serge-bramly-signent-rose-c_est-paris-a-la-bnf/

histoire de se "remémorer "cette cueillette de roses ...séparées

[Libertin_123]

Délicieuse évocation de ces instants magiques.

Il m’avait bien semblé qu’il s’était "passé quelque chose" avec cette femme.
Elle était de l’autre côté de ta jolie personne, aussi, je ne pouvais pas bien voir, mais il m’avait semblé qu’elle nous avait regardé avec un petit air de rien qui voulait dire beaucoup en s’approchant de nous et je ne suis pas surpris qu’elle se soit assise à tes pieds au plus près qu’elle put, donc quasiment à te toucher.

Je pense qu’elle a eu, pendant la demi-heure de notre halte à cet endroit, une vision imprenable sur ce que nous faisions (et sans doute plus ou moins sur ton entrejambe), et qu’additionnée aux images du film, elle devait être, la pauvre, dans un état pas possible et sans personne pour la secourir quand nous avons décidé de poursuivre la visite.
Je suis même persuadé qu’elle a dû mourir d’envie de caresser ta jambe, mais qu’elle ne s’est jamais résolue à le faire, et qu’elle y pense encore...

Bisous émus et qui pensent encore à cette visite...

[Ash]

[...]

[philachev]

C'est ça que l'on appelle faire une visite guidée?