Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
HOMEOSTASIE
10 mai 2010

Note pour plus tard : penser à passer à la pharmacie

photo

Il n'aurait jamais du me dire "Je vais vous fouetter jusqu'à ce que vous disiez stop". C'était mal me connaître...
Bon d'accord, j'avoue c'est vrai, je fais ma crâneuse maintenant...

Quand même, la douleur devenait de plus en plus forte,  je me raidissais de plus en plus... je n'étais plus très loin d'atteindre le point de non retour. N'empêche je n'ai pas dit stop...

(mais il s'en est fallu d'un cheveu...)

Publicité
Publicité
Commentaires
H
@ silhius<br /> je n'ai qu'un mot à dire... "merci"
S
C'est le jeu du pouvoir, pas seulement sur<br /> le cul que l'on fouette, mais sur soi-même.<br /> Sentir le corps de l'autre, le voir réagir.<br /> Se sentir à la limite, prêt à franchir la<br /> frontière qui pourrait faire tout basculer.<br /> Finalement y renoncer, car le plaisir<br /> s'envolerait alors. On s'arrête, avale<br /> quelques CeS, caresse se postérieur brulant.<br /> Douceurs furtives qui jamais ne s'évaporent..
H
@ Miss Peel<br /> merci pour le conseil, je vais passer une annonce "JF marquant facilement cherche homme sachant masser..."<br /> kiss<br /> <br /> @ FLOW<br /> pour le plaisir de pouvoir recommencer ?<br /> pour me donner l'illusion d'une victoire ? <br /> <br /> @ Philo<br /> déjà les minots de 6 ans, ils respectent pas les consignes... alors les grands ! tout se perd mon pauvre monsieur<br /> <br /> @ Chilina<br /> pourquoi ? si je le savais moi-même...<br /> sourire<br /> <br /> @ Libertin<br /> j'aime bien ta conclusion de remercier celui qui m'a permis de vivre ça...<br /> des baisers sur mes fesses? hmmmmm<br /> <br /> @ usclade<br /> je pense aussi qu'il a du avoir mal, il n'a eu que ce qu'il mérite... sourire
U
Et si ça se trouve, c'est le fouet qui a eu le plus mal... Mais lui, personne pour le soigner...
L
Ne rien dire, ne pas stopper, supporter la douleur, jusqu’à la limite (ou juste avant).<br /> Etrange comportement… vu de l’extérieur.<br /> Et pourtant…<br /> <br /> Quand on a déjà été confronté à ce genre de situations, un début de compréhension peut venir.<br /> Car en effet à quel moment dire stop ? Au bout du deuxième coup ? Du 10ème ? Du 20ème ? Du 50ème ?<br /> Et pourquoi dire stop à un coup donné alors que l’on a supporté tous les précédents ?<br /> Et puis il faut l’avouer, il en coûte de dire stop. C’est un peu comme s’avouer vaincue. Vaincue par qui, par quoi ? On ne sait pas bien. Mais un peu vaincue, oui.<br /> Alors au bout d’un certain nombre de coups, on s’arme de courage, parce que ça fait mal quand même, il ne faut pas l’oublier.<br /> <br /> C’est un peu comme quand on entreprend l’escalade d’une montagne un peu plus haute que d’habitude, via un chemin un peu plus abrupt que d’habitude, au bout d’un moment on souffre mais on ne veut pas s’arrêter, on ne voit pas forcément le sommet, caché par cette butte juste devant nous, mais on avance, atteignons d’abord le haut de la butte, on verra bien ensuite, on trouvera bien suffisamment de courage pour continuer.<br /> Et quand on arrive au sommet, on ne peut pas s’empêcher d’être contente et fière. Et même si cela s’est joué entre soi et soi, cette fierté a de la légitimité.<br /> Et donc, même si tu ne joues pas la crâneuse justement, et bien tu peux avoir de la légitimité à être « contente » de ton comportement, certes étrange (vu de l’extérieur), mais porteur de sens en vérité.<br /> <br /> Ensuite, bravo à cet homme qui a su s’arrêter, juste avant cette limite, et qui t’a permis de vivre ce moment.<br /> <br /> Baisers réparateurs ..là où les coups furent portés... ;-)<br /> <br /> ps : j'aime beaucoup la photo. Elle m'a bien fait rire et puis c'est une belle étiquette.
HOMEOSTASIE
Publicité
Publicité