Même pas peur
Des tensions persistent au niveau des poignets. J'ai beau essayer de bouger, tenter de réduire l'inconfort, mes bras immobilisés avec mes chevilles dans le dos ne m'offrent que peu de d'amplitude pour trouver une position VRAIMENT possible à supporter plusieurs minutes sans provoquer dans les membres une vraie douleur.
Il y a encore quelques temps cet instrument me terrifiait. ABSOLUMENT. Pourtant, c'est quand j'ai senti les dents de la roulette sur ma peau que les tensions ont disparu presque instantanément sous les frissons. Ma peau frémissait à l'unisson avec les pics qui dansaient sur [avec] moi.
Ce qui subsistait encore de l'incommodité a fini de fondre COMPLÈTEMENT quand la bougie s'est écoulée sur mon épiderme impatient de goûter à la chaleur des gouttes de cire. Cette fois les frissons ont fait place à des spasmes jouissifs.