15 juin 2010
La grâce
Pierre Auguste RENOIR - La danse à la ville
Entièrement nue, debout sur la pointe des pieds, je me caresse contre lui de la main droite, la gauche jouant avec la laisse de métal accrochée à mon cou. Un de ses doigts s'enfonce dans mon cul lui prodiguant de si douces caresses. Des flashs percutants venus des délices des dernières heures m'amènent très vite à la jouissance. Des mille frissons qui m'emportent, je jouis ainsi en tremblant, juste la tête calée contre son cou.
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